• Disques,  Musique,  Musique française,  Musique populaire

    Qui est donc “Pa Sucordoze” ?

    À propos d’un air de Jules Arlanda Voi­là un nom qui ne dira pas grand chose au pro­fane.  À La Réunion, ceux qui connaissent et chan­tonnent le plus grand suc­cès de Jules Arlan­da (1923 – 2010) inter­pré­té par Pier­rette Payet, Quand li mett’ son mou­lure (en fran­çais “quand il met ses beaux sou­liers”, autre­fois connue sous le titre Ti Roger), connaissent l’ex­pres­sion qui ponc­tuent le refrain mélan­co­lique (c’est bien un regard sur le pas­sé des bals la pous­sière qui est por­té) : “Comme dans l’temps Pa Sucor­doze”. Sorti de l’imaginaire de Georges Fourcade C’est dans le théâtre de say­nètes du chan­son­nier Georges Four­cade (1884 – 1962) que je suis allé cher­cher l’o­ri­gine de cette…

  • Affiche,  Art,  Avant-garde,  Bande dessinée,  Critique,  Culture de l'écrit,  édition,  Expositions,  Graphisme,  Librairie,  Musique,  Musique française,  Rock,  Satire,  Situationniste

    Bazooka exp(L)ose à Estienne

    Ayant croi­sé quelques membres du col­lec­tif de gra­phistes Bazoo­ka à la Nuit de l’Es­tampe (de mémoire, Oli­via Cla­vel et Lulu Lar­sen) qui a lieu place Saint-Sul­pice aujourd’­hui, je pro­fite de l’oc­ca­sion pour relayer leur expo­si­tion à l’É­cole Estienne (École supé­rieure des arts et indus­tries gra­phiques). Ren­dez-vous ce jeu­di 3 juin à 18h30 pour renouer avec l’es­prit gra­phique fou­teur de merde !

  • Art,  Humoriste,  Musique,  Musique française,  Nouvelles fraîches,  Rock,  Spectacle,  Théâtre

    La troupe de Deschamps et Makéieff dynamite Chaillot

    C’est arri­vé près de chez vous, salle Jean Vilar ! Une pièce dans l’es­prit lou­foque qui a habi­té nombre de leurs spec­tacles (Les pieds dans l’eau, Lapin Chas­seur) mais aus­si leurs pro­duc­tions pour la télé­vi­sion (les mythiques Des­chiens, mais aus­si Qui va m’ai­mer ?) dont on peut regret­ter qu’elles ne trouvent plus de cré­neau dans le vomi télé­vi­suel à 300 chaînes numériques. Reve­nons à nos artistes. Salle des fêtes reprend les ava­tars de la culture popu­laire, se situant net­te­ment dans l’hé­ri­tage du comique de situa­tion (dyna­mi­sé par une ges­tuelle, du chant, des ins­tru­ments, une gouaille cer­taine, voire des gueu­lantes) de Jacques Tati, dont, rap­pe­lons-le, Jérôme Des­champs est l’ayant-droit et défend la dif­fu­sion…