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Leonard Schneider, aka Lenny Bruce
Je n’avais jamais entendu parler de Lenny Bruce, quand bien même Dylan (oui le grand Robert Zimmermann) lui dédiait une chanson, jusqu’à entendre le musicien Bob Forrest, chanteur de Thelonious Monster (alors là, quasi-inconnu également en France… pourtant une pointure de la scène drunk-punk-rock de Los Angeles dans les années 1990) le citer comme une influence majeure (surtout concernant les opiacées, CQFD). Il y a donc deux ans, avant que je ne quitte très brièvement Paris, j’avais commandé une vieille édition “paperback” (1974, je crois) de la biographie romancée du journaliste Albert Goldman, Ladies & Gentlemen, Lenny Bruce ! Pour les intéressés, Goldman a été très critiqué, ses thèses fantaisistes sur Elvis Presley…